[Note / Mangas] « Je suis amoureuse de […]. Dès l’instant où je l’ai admis, j’ai fait aussi le choix d’un amour impossible.  » #8 (Love, be loved Leave, be left _ Tome 8)

Bien le bonjour Ami lecteur ! J’espère que ça va bien ! Aujourd’hui, on continue toujours ensemble mes chroniques avec le tome 8 de « Love, be loved Leave, be left« , de Io Sakisaka et éditée en France par Kana. Encore une fois, Comme nous sommes au tome 8, je ne vais plus t’expliquer la trame de l’histoire et te laisse plutôt lire mes chroniques déjà postées !

Encore une fois, je lance l’alerte spolier (on n’est jamais trop prudent) !

D’ailleurs, si ça t’intéresse, je te laisse également le lien vers l’article que j’ai écrit pour le tome précédent : ici.

Tu es prêt(e) ? Allez, c’est parti !



Synopsis du tome 8 :

« Ryôsuke, l’ex-petit ami d’Akari, vient voir celle-ci pour lui rapporter quelque chose qu’il ne lui avait pas rendue. Toutefois, est-ce bien l’unique raison de sa venue ?! À l’approche de Noël, Yuna et Rio prévoient leur programme. Il semble aussi y avoir de l’avancement du côté d’acari et de Kazuomi… »



Ma chronique :

La première fois que j’ai lu le tome 8, je dois dire qu’il ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Pourtant, je dois avouer qu’à force de le relire, j’y ai trouvé des sujets intéressants, voir même important par la suite.

Io Sakisaka nous transmet une réflexion sur les parents et sur les impacts, qu’ils soient bénéfiques ou bien néfastes, qu’ils peuvent avoir sur leurs enfants dans ce volume. En effet, nous avons du côté de Rio et Akari, le froid polaire provoqué par la dispute de leurs parents qui se répercute dans la maison et sur les deux adolescents.

Et de l’autre côté, nous avons les parents de notre petit Kazu qui se disputent également au sujet de leurs enfants qui fait que l’adolescent se renferme sur lui-même et qu’il peine à s’ouvrir véritablement à Akari. Dans ce tome, seule Yuna s’en sort bien puisque sa mère semble réellement bienveillante envers elle.

Niveau histoire, nous comprenons facilement que Rio s’en sort plutôt bien grâce à Yuna, puisque sa petite amie lui apporte un vent de fraicheur et lui permet de penser à autre chose. En revanche, pour Akari et Kazu, ce n’est pas, mais alors vraiment pas la fête. Leur relation stagne bien trop à mon goût parce qu’on distingue bien les sentiments qu’ils ont l’un pour l’autre.

Pourtant, dans un sens, si on s’intéresse à leurs psychologies alors cette dernière avance logiquement. Ils n’arrivent pas à aller vraiment vers l’autre et on se demande si l’ex-petit ami d’Akari va profiter de cette petite hésitation de la part de Kazu pour revenir vers la jeune fille.

La qualité du travail de la mangaka est très visible également dans sa manière de traiter les concurrences ( notamment amoureuses), qu’elle rend bienveillantes et positives. On le voit très bien avec les réactions d’Agatsuma qui sont vraiment sympas ainsi qu’avec celles de Ryôsuke qui estime que malgré les sentiments qu’il possède encore pour Akari, comme c’est lui qui l’a quitté, si la jeune fille ne souhaite plus le voir alors il s’effacera de sa vie

sous réserve des réactions de Kazu, évidement. Et ça, bah ce n’est pas gagné… Dans le fond, je m’étais trompée sur Ryôsuke puisque c’est vraiment quelqu’un de bien.

On suit ensuite Noël et la façon qu’ont les deux « couples » (l’officiel et le non-officiel, encore) de le fêter. Dans un premier temps, on suit donc Rio et Yuna dont la fête fêtée en amoureux est merveilleuse, adorable, vraiment mignonne… et où on distingue bien que Yuna et Rio sont vraiment trop beaux ensemble. Le garçon est là pour rassurer l’adolescente qui manque encore un peu de confiance en elle par exemple…

et dans un deuxième temps, on suit le Noël beaucoup moins joyeux de Kazu et d’Akari mais qui marque un réel tournant et une réelle avancée pour les deux amoureux car ils se confient l’un à l’autre sur leurs rêves d’avenir, notamment et sur leurs problèmes familiaux également. Ils passent du temps ensemble, s’amusent mais ils restent sérieux tout de même, gagnant un tout petit peu en maturité et arrivant petit-à-petit à la sortie du long tunnel dans lequel ils semblent s’être empâtés.



Conclusion :

Pour conclure, je dirais que ce huitième tome est touchant, nostalgique et emplie de désillusions. La fin, ou plutôt l’image de fin m’a particulièrement émue. En effet, en lisant ce tome, nous comprenons que nous recherchons tous le bonheur et nous faisons tout le temps des choix dans ce sens, du moins nous essayons.

Parfois il arrive qu’on ne nous laisse pas le choix de faire ce que nous souhaitons réellement, ne nous laissant pas être qui nous sommes réellement et c’est triste dans un sens…

Il y a toujours une trame et des mises en scène bienveillantes et douces. Les dessins restent toujours ravissants (les expressions sont juste splendides… je n’ai pas d’autre mot pour les qualifier). Les sentiments sont très bien exprimés, rendant plus fort encore les liens d’amitiés mais également d’amours qui se tissent au fil du temps et faisant écho à ce qu’on a pu ressentir aux âges de ces quatre adolescents qui forment une jolie bande d’amis soudés.

Sinon, je te laisse le lien vers le site de Babelio sur la page consacrée à ce deuxième volume pour que tu puisses te faire ton avis plus complet dessus avant de te lancer, si tu le souhaite. Je t’invite cliquer sur le lien : ici.


Mais, et toi, as-tu lu ce manga ? Qu’en as-tu pensé ?

Tu peux, bien évidemment y répondre sur mes réseaux sociaux (liens à la fin de l’article) et je serais ravie de partager avec toi sur ce manga ou cette série (si tu les as lus, bien-sûr) donc n’hésite pas également à me donner ton avis, notamment sur Instagram car je suis plutôt active là-bas !

À présent, je te donne rendez-vous pour ma chronique sur le tome 9 très prochainement, Ami lecteur !

À la prochaine dans un futur article et bien le bonsoir, Ami lecteur !

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