Bien le bonjour Ami lecteur ! J’espère que ça va bien ! Aujourd’hui j’avais envie de te donner mon avis sur le film : « The In between« , sorti en 2022 de Arie Posin et disponible sur la plateforme de streaming Netflix. En finissant ce visionnage, j’ai eu envie de partager mon avis dans un article. Le voici !
Tu es prêt(e) ? Allez, c’est parti !
Quelques mots sur le réalisateur :
Arie Posin est un Réalisateur et Scénariste américain d’origine israélienne au début des années 70. Surtout connu pour avoir réalisé « Génération RX » en 2005 et « The face of love » en 2013, il a réalisé « The In between » en 2022.
Le synopsis du film (sur le site de la plateforme Netflix) :
« Le cœur brisé par la disparition de l’amour de sa vie dans un accident tragique, une adolescente commence à croire qu’il lui envoie des signes d’outre-tombe. »
Ce que j’en ai pensé :
Lorsque la bande annonce de ce film était sorti sur Netflix, j’ai tout de suite eu envie de le découvrir. Parce qu’il semblait amener des thématiques que je trouvais pertinentes et intéressantes. Qui n’étaient pas forcément toujours bien exploitées dans l’univers de l’audio-visuel. Pour autant, je ne l’ai pas découvert tout de suite car je suis partie sur d’autres visionnages. Et je ne regrette pas du tout de l’avoir enfin vu !
Dans « The In between », nous suivons donc l’histoire d’amour de Tessa et de Skylar… À travers de ce qui s’apparenterait plus à une séparation extrêmement brutale et injuste. Parce que Skylar est décédé et que Tessa doit donc faire un deuil qui lui est impossible à faire.
Comme le film est l’adaptation du roman du même nom de Marc Klein, il ne s’agit pas vraiment de ce que j’appelle un scénario original. Pour autant, j’ai trouvé la composition de ce film extrêmement bien réalisée. On saute d’un temps à l’autre. (Du passé au présent et du présent au passé.) Avec justesse, et cela rend l’aspect général du film qui est avant tout le deuil et la manière de le gérer, un peu moins compliqué.
J’ai trouvé intéressant le fait que la séparation brutale des deux amants ne soit pas forcément vu comme une fatalité. Le fait que Tessa soit persuadée que Skylar lui envoie des messages lui permet petit à petit de s’adapter à sa disparition. Et même si elle n’est pas forcément crue par son entourage, au final, le fait qu’elle, elle y croit et qu’elle fasse tout pour comprendre ce que son amour lui dit, fait qu’on s’attache énormément à elle.
Parce que, ne pas parvenir à faire son deuil, c’est stagner dans le temps et refuser de voir au-delà. Surtout quand c’est brutal, et qu’on ne s’y attend pas. Je ne dis pas que faire son deuil est simple, moi-même, il y a certaines pertes que je n’accepte toujours pas et que je n’accepterai jamais. Pour autant, avec le temps, et un travail sur soi, on parvient à s’adapter à la nouvelle réalité qui est la notre. Et c’est au final tout ce cheminement qui nous est conté dans ce film.
J’ai également trouvé la colorimétrie très intéressante. Le présent est dépeint avec des couleurs froides à teinte de gris et de rose très pâle. En revanche, le passé est dépeint avec de la chaleur, des couleurs orangées, roses pétants. Cela nous permet de faire la différence entre la tristesse et la mélancolie face aux souvenirs du présent de Tessa… Et son passé, joyeux, coloré et rempli d’amour grâce à Skylar.
La Bande-son a été composée par J. J. Pfeifer. Il a su apporté de par les mélodies quelque chose en plus au film. Je ne saurais expliquer pourquoi, mais j’ai réellement bien aimé cette bande-son. Le fait d’entendre d’anciennes chansons dont une en particulier y est pour beaucoup aussi surement.
Pour ce qui est du casting, Joey King (« The kissing booth » 1, 2 et 3), qui joue Tessa, m’a entièrement convaincue. Cette actrice transmet tellement d’émotions fortes. J’y est cru à 100%. Et j’ai même eu les larmes aux yeux pour elle. Vraiment un sans faute de ce côté-là. J’ai été convaincue également par Kyle Allen qui joue Skylar. Cet acteur dégageait tellement de douceur dans son personnage, j’ai complètement fondue pour lui. Le couple qu’ils forment tous les deux est beau et au final, fonctionne complètement.
Mais de manière générale, le casting était vraiment de qualité. Il n’y a pas beaucoup d’acteurs et d’actrices mais tous jouaient très bien et étaient justes. Bon point pour moi.
Conclusion :
Pour conclure, je dirais que « The In between » est un très beau film sur la perte de l’être cher, et le deuil… Et comment il se déroule en fonction de la manière dont on le vit.
J’ai été touchée par cette histoire que j’ai trouvé très belle, triste bien-sûr, mais également remplie d’espoir et composée de belles images.
Les personnages, malgré leurs failles et leurs faiblesses, sont extrêmement attachants. Et apportent tous quelques choses au scénario ou bien à l’héroïne. Tout est logique et même les psychologie sont très bien travaillées puisque les personnages ont des réactions cohérentes avec leurs passés.
Les musiques sont belles et même si elles ne restent pas forcément en tête, force est de constater qu’elles apportent beaucoup en termes de sentiments au film. De même que la colorimétrie est très réussie et nous apporte en termes de compréhension de la ligne du temps.
Je te recommande ce film si tu aimes les longs métrages qui font sens, avec de beaux messages et un beau couple principal.
Je te laisse également un lien vers le site de Sens critique pour que tu puisses te faire un avis plus complet sur ce film : ici.
Et toi ? L’as-tu vu ? Si oui, qu’en as-tu pensé ? Si non, en aurais-tu envie ?
Tu peux, bien évidemment y répondre sur mes réseaux sociaux (en liens à la fin de l’article) et je serais ravie de partager avec toi sur ce film (si tu l’as vu, bien-sûr) donc n’hésite pas également à me donner ton avis, notamment sur Instagram car je suis plutôt active là-bas !
Enfin, je t’invite également à aller lire la dernière note / films que j’ai rédigée sur « Dream House » sorti en 2011, si ça t’intéresse. Clique ici.
Sur ce, à la prochaine dans un futur article et bien le bonsoir, Ami lecteur !
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