[Note / Livres] «Un foyer ce n’est pas qu’une maison. Ce sont aussi les personnes dont on choisit de s’entourer. » (La maison au milieu de la mer céruléenne.)

Bien le bonjour Ami lecteur ! J’espère que tu vas bien ! Aujourd’hui j’avais envie de te donner mon avis sur l’un des derniers livres que j’ai terminé : La maison au milieu de la mer céruléenne, de T. J. Klune, sorti en 2021 en France aux éditions De Saxus Eds .

Tu es prêt(e) ? Allez, c’est parti !

Quelques mots sur l’auteur :

T. J. (Travis John) Klune est donc un auteur de fictions fantastiques et romantiques américain, né le 20 mai 1982 à Roseburg aux États-Unis. Dans ses histoires, il met en vedette des personnages gays et LGBTQ+.

Il a écrit de nombreux romans mais c’est grâce à La maison au milieu de la mer céruléenne (The House in the Cerulean Sea) qu’il obtiendra un prix littéraire (le Mythopoeic Fantasy Award for Adult Literature 2021) et qu’il deviendra Auteur de Best-seller du New York Times.


Si ça s’intéresse, je te laisse le lien vers sa page Facebook (en anglais). C’est ici.

Quatrième de couverture (sur le site de Babelio) :

« Une île magique. Une mission dangereuse. Un secret brûlant.
Linus Baker mène une vie tranquille et solitaire. À quarante ans, il vit dans une petite maison avec un chat caractériel et ses vieux disques. En tant qu’agent du Ministère de la Jeunesse Magique, il doit s’assurer du bien-être des enfants dans les orphelinats supervisés par le gouvernement.


Mais lorsqu’il est convoqué de manière inattendue par les Cadres Extrêmement Supérieurs, il se voit confier une mission curieuse et hautement secrète : se rendre sur l’île de Marsyas dans un foyer où résident six dangereux pensionnaires.


Obligé de mettre ses craintes de côté afin de rédiger un rapport objectif sur l’établissement, Linus va vite comprendre que les enfants ne sont pas le seul secret que renferme l’île. Il devra également réussir à cerner le charmant et énigmatique directeur des lieux, Arthur Parnassus, qui fera tout pour défendre ses protégés.
À mesure qu’il découvre d’incroyables secrets et qu’il se rapproche d’Arthur, Linus va se retrouver confronté au plus difficile des choix : faire son devoir ou écouter son cœur

Ce que j’en ai pensé :

À vrai dire, ce livre m’avait déjà fait de l’œil à sa sortie. J’avais été happée par la couverture qui m’avait interpelée. Je m’étais tout de suite dit en lisant la quatrième de couverture que j’allais me l’acheter en e-book s’il existait. Lors de mes sessions achats e-books (oui, j’ai des sessions achats e-books), je me le suis donc procurée avec d’autres romans, d’autres histoires qui me faisaient envie.


Je ne l’ai pas lu directement après l’avoir acheté car je me suis plongée dans les deux romans de Céline Holynsky (si ça t’intéresse, je t’invite à aller découvrir mes deux articles en cliquant ici et ici) avant. Cependant, je me suis lancée directement après dans ces lectures.


Dans La maison au milieu de la mer céruléenne nous suivons Linus Baker, un employé du Ministère de la Jeunesse Magique envoyé par ses supérieurs pour une mission dans un orphelinat afin de définir si le directeur Arthur Parnassus est à même de tenir cet établissement et pour également rencontrer les enfants qui y vivent afin de se rendre compte de leurs conditions de vie justement.


Un des points que j’ai trouvé intéressant et donc plutôt positif est tout simplement l’univers du roman. J’ai pu y dénoté un petit mélange entre Harry Potter et Miss Peregrine assez agréable. Les descriptions sont également très immersives et on s’y croirait. Quel que soit les endroits où on suivait Linus, c’était comme si nous étions totalement à coté de lui et que le voyage qu’il faisait n’était pas en solitaire (même s’il bouge avec sa minette).


Un autre point positif pour moi, ce sont les messages passés de tolérance, de voyage et de quête personnelle, de redécouverte de soi-même, d’acceptation de l’autre et de qui l’on est, du fait de trouver sa place. La satire sur le travail qu’on est obligé de faire pour vivre sans vraiment en prendre du plaisir est également bien passé. Bref, j’ai trouvé qu’il y avait de très bonnes idées, bien mises en avant et j’ai eu énormément de plaisir à lire cette histoire.


La plume de T. J. Klune est très belle et agréable. Je l’ai trouvée plutôt simple, immersive, assez recherchée mais pas pompeuse du tout. Comme dit plus haut : les descriptions (des paysages ET des personnages) sont vraiment bien amenées, bien travaillées et c’est un véritable plaisir à lire.


La narration est à la troisième personne, et comme j’adore les romans écrits sous ce genre de narration, c’était déjà gagné pour moi. La lecture, bien qu’un peu longue au début s’accélère de plus en plus à mesure qu’on tourne les pages. Ce qui fait que le roman se lit plutôt vite.


Pour parler un peu plus en détails des personnages, je les ai tous énormément aimés. Que ce soit Linus, Arthur, Lucy, Talia, Sal, Chauncey, Phee et Théodore, je me suis attachée à chacun d’entre eux. Ils évoluent tous d’eux-même, en faisant leur chemin personnel mais également au contacte des autres et j’ai trouvé cela très réaliste. De même, j’ai beaucoup aimé les évolutions de chacun et je me suis énormément attachée à eux.


J’ai simplement trouvé que la différence entre la ville qui était grise, terne, où les gens étaient agressifs ; Et l’île lumineuse, colorée et où tout le monde était gentil un peu trop poussé dans les extrêmement. Mais bon je chipote un peu. De plus, bien que j’ai dévoré tout le roman très vite, je dois bien avouer que j’ai mis énormément de temps à rentrer dedans tant l’histoire était longue au début.


Mais cela ne m’a pas empêché de lire ce que j’ai qualifié à la fin de véritable « coup-de-cœur » littéraire. Et cela faisait très longtemps que je n’en avais pas eu.

Conclusion :

La maison au milieu de la mer céruléenne est un super roman, plein de justesse, d’humour, d’amour, rempli de beaux messages ! Je suis passée des rires aux larmes parfois d’une phrase à l’autre.


L’histoire est très prenante et bien ficelée et m’a profondément émue. Je ne voulais pas finir le roman tant je ne voulais pas quitter les personnages. Et j’avais limite envie de le relire du début juste pour ne pas les laisser partir !


Parce que les personnages sont plutôt bien travaillés, réalistes dans leur psychologie aussi et sont tous totalement différents. Ils sont touchants, attachants et profondément humains.


De ce fait, cette lecture fut un véritable délice, un vrai « coup-de-cœur » comme j’en ai rarement eu ! Et c’est pour ce fait que je ne peux que te conseiller ce roman ! Si tu aimes les belles histoires d’amour, les personnages attachants et réels, des beaux messages dans un endroit de rêve alors fonce !

Et toi ? As-tu lu ce livre ? Si oui, l’aimes-tu ? Si non, en aurais-tu envie ?

Tu peux, bien évidemment y répondre sur mes réseaux sociaux (en liens à la fin de l’article. D’ailleurs, je t’invite chaleureusement à venir me retrouver sur Instagram car je suis plutôt active là-bas!) et je serais ravie de partager avec toi sur ce livre (si tu l’as lu, bien-sûr) donc n’hésite pas également à me donner ton avis !

Enfin, je t’invite à aller lire la dernière note / livres que j’ai rédigée sur « Carnet de route » de Marie Lopez, si ça t’intéresse. Clique ici.

Sur ce, à la prochaine dans un futur article et bien le bonsoir, Ami lecteur !

Caractère de Pêche