[Note / Mangas] « Je suis amoureuse de […]. Dès l’instant où je l’ai admis, j’ai fait aussi le choix d’un amour impossible.  #12 (Love, be loved Leave, be left _ Tome 12)

Bien le bonjour Ami lecteur ! J’espère que ça va bien ! Aujourd’hui, on continue toujours ensemble mes chroniques avec le tome 12 de « Love, be loved Leave, be left« , de Io Sakisaka et éditée en France par Kana. Encore une fois, Comme nous sommes au tome 12 (et donc dernier tome), je ne vais plus t’expliquer la trame de l’histoire et te laisse plutôt lire mes chroniques déjà postées !

Encore une fois, je lance l’alerte spolier (on n’est jamais trop prudent) !

D’ailleurs, si ça t’intéresse, je te laisse également le lien vers l’article que j’ai écrit pour le tome précédent : ici.

Tu es prêt(e) ? Allez, c’est parti !



Synopsis du tome 12 :

« Le père d’Akari et de Rio est muté à l’étranger pour son travail. Rio a envie de rester au Japon pour Yuna, mais… Au même moment, Kazuomi demande à Akari, qui rêve de devenir interprète, si elle ne devrait pas partir vivre à l’étranger.

Voici la fin d’une histoire d’amour et d’amitié autour de ces quatre personnages. »


Ma chronique :

Dans le tome précédent, nous avions un nouveau couple qui se formait, à savoir, celui de Kazu et Akari. Nous n’avons donc plus un mais deux couples touts mignons que nos quatre héros forment à présent. Et j’ai envie de dire « ENFIN » ! Sauf que, un bonheur n’arrive jamais sans une petite dose d’angoisse, visiblement. Et aucun des deux couples n’est épargné. En effet, Rio et Yuna sont victimes de commérages dans leur immeuble et Kazu et Akari, tout nouvellement ensemble, vont devoir faire face à une probable séparation.

Le père de Rio et d’Akari est muté aux États-Unis pour son travail. Les jeunes gens ne veulent pas forcément suivre leurs parents mais… parce qu’il y a forcément un « mais »… Akari souhaite devenir interprète japonais-anglais alors, partir aux States serait une occasion rêvée pour elle. Kazu en a conscience et toute la question de poursuivre leur relation malgré tout est posée.

Pour revenir plus en détails sur les différents couples, Rio et Yuna doivent donc faire face à des commérages dans leur immeuble. Chose complètement injuste puisque ces deux jeunes gens désirent tout simplement vivre leur relation à la manière qui les caractérise : profondeur, sincérité et amour tout simplement. Une des choses que j’ai trouvé vraiment intéressante réside dans le fait qu’ils sont, de ce fait, confrontés à la réalité de la vie. De plus, les deux jeunes ont évolué l’un avec l’autre et la plupart de leurs proches le remarquent, ce qui est très plaisant.

Mais c’est définitivement le déménagement qui pose le plus de questions. Pas pour Rio et Yuna mais plutôt pour Kazu et Akari. Parce qu’ils sont en couple depuis moins de 24 heures (limite) et ils doivent déjà réfléchir sérieusement à leur avenir ensemble (mais également personnel). Au final, Io Sakisaka ne les a pas épargnés au travers de son histoire.

Ce qui est beau également, c’est qu’on distingue vraiment à quel point, si ce n’est qu’ils s’aiment, au moins qu’ils sont vraiment attachés l’un à l’autre.

Mais au-delà des deux histoires d’amour plus ou moins compliquées, c’est surtout une très belle histoire d’amitié qui nous a été contée pour la mangaka. Grace à Yuna et Akari, nous avons pu suivre quelque chose de fort, de réaliste et de délicat à travers leurs deux parcours.

Elles se sont beaucoup apportées l’une et l’autre, de par leur vision du monde et de l’être humain, des sentiments aussi différents, mais également avec leurs discussions douces et toujours bienveillantes ou aucune des deux ne jugeait l’autre. Au contraire, le but était constamment de comprendre l’autre pour l’amener à décider à sa façon tout en lui apportant des choses importantes.

« Love, be loved Leave, be left » tire donc sa révérence après 12 tomes. Et force est de constater que le travail de Io Sakisaka est toujours de qualité. Les derniers rebondissements sont certes plutôt gros, cependant la mangaka les exploite avec délicatesse… Toujours dans l’idée de montrer l’évolution de ses personnages. (d’eux-même mais également avec les autres)



Conclusion :

Pour conclure, je dirais que ce douzième tome est une réussite pour moi. Il apporte une conclusion / fin somme toutes rapide mais très bien amenée quand même.

Les dessins sont toujours aussi délicat, fin et tout bonnement magnifiques. Ils illustrent à la perfection les qualités de narration et les trames de Io Sakisaka. Les personnages sont tous très bien travaillés. (Que ce soit au niveau physique mais également au niveau psychologique) et sont tous très attachants. Parce qu’après tout une héroïne bien développée c’est bien, mais au final, deux c’est bien mieux !

Le seul point un peu « négatif » mais entre très gros guillemets, est que j’ai trouvé la fin un peu rapide. Cependant, je pense que c’est surtout mon amour pour cette série qui me fait parler. Cela ne m’aurait pas déranger que le manga dure encore quelques pages.

« Love, be loved Leave, be left » reste sans conteste un de mes incontournables en matière de mangas avec « Blue Spring Ride« , évidemment et « Orange« . J’aime énormément cette série et je me replongerai dedans incessamment sous peu, ça j’en suis sûre !

Sinon, je te laisse le lien vers le site de Babelio sur la page consacrée à ce deuxième volume pour que tu puisses te faire ton avis plus complet dessus avant de te lancer, si tu le souhaite. Je t’invite cliquer sur le lien : ici.


Et toi, as-tu lu ce manga ? Ou cette série ? Qu’en as-tu pensé ?

Tu peux, bien évidemment y répondre sur mes réseaux sociaux (liens à la fin de l’article) et je serais ravie de partager avec toi sur ce manga ou cette série (si tu les as lus, bien-sûr) donc n’hésite pas également à me donner ton avis, notamment sur Instagram car je suis plutôt active là-bas !

Sur ce, à la prochaine dans un futur article et bien le bonsoir, Ami lecteur !

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