Bien le bonjour Ami lecteur ! J’espère que ça va bien ! Aujourd’hui, on continue toujours ensemble mes chroniques avec le tome 10 de « Love, be loved Leave, be left« , de Io Sakisaka et éditée en France par Kana. Encore une fois, Comme nous sommes au tome 10, je ne vais plus t’expliquer la trame de l’histoire et te laisse plutôt lire mes chroniques déjà postées !
Encore une fois, je lance l’alerte spolier (on n’est jamais trop prudent) !
D’ailleurs, si ça t’intéresse, je te laisse également le lien vers l’article que j’ai écrit pour le tome précédent : ici.
Tu es prêt(e) ? Allez, c’est parti !
Synopsis du tome 10 :
« Kazuomi appone qu’Akari a parlé des problèmes de ses parents à Ryôsuke. Il est jaloux et demande à Akari de lui en faire part aussi. Il a envie de lui déclarer ses sentiments… ! Kazuomi sait que Ryôsuke passe à la vitesse supérieure pour séduire Akari… ! »
Ma chronique :
Je crois que j’ai rarement été autant énervée à la fin d’un tome comme ce dixième tome me crispe. Dans celui-là, on parle entre autre de choix d’avenir. Pour les adolescent, ce sujet est toujours extrêmement complexe (sauf pour ceux qui ont déjà une vocation). Le soucis réside dans les parents qui sont plus ou moins capable d’accepter les projets de leurs enfants. Ce n’est pas toujours le cas, malheureusement.
De manière générale, on ne fait pas des enfants pour qu’ils restent près de nous toute notre vie ou pour les transformer à notre image, et ne pas les accepter tels qu’ils sont ne peut pas engendrer des sentiments positifs. Nous retrouvons cela à la fin de ce tome, qui me parle beaucoup pour mon plus grand regret.
Mais il n’y a pas que cela dans ce tome (heureusement d’ailleurs). Depuis plusieurs temps déjà, l’histoire se concentre un peu plus sur Kazuomi et Akari. En effet, Rio et Yuna vivent le parfait amour depuis pas mal de pages et ils ne se trouvent plus sur le devant de la scène. Et là où tout semblait facile et allant de soi pour eux, ce n’est pas la même chose pour leurs deux amis.
Comme Kazu et sa très probable dulcinée n’arrivent pas à se comprendre vraiment, ce dernier se retrouve jaloux lorsque Ryôsuke décide d’accélérer l’allure pour séduire de nouveau la jeune fille. Akari, qui avait besoin de se confier à quelqu’un sur ce qu’il se passe chez elle entre se parents, se laisse tenter et parle avec lui. En effet, Petit Kazu aimerait bien qu’elle fasse pareil avec lui (Ah, la jeunesse… que c’est compliqué…).
Bon après, il ne faut pas trop lui jeter la pierre parce qu’entre ses tourments amoureux et les tourments vis-à-vis de son projet d’avenir dans le cinéma (pas du tout accepter par ses parents), je peux comprendre que ce soit difficile pour lui de tout gérer. Quelque part, Kazuomi est touchant. Il ne veut pas décevoir ses parents (qui mettent énormément de pression sur ses épaules à cause de son frère) mais ne veut pas abandonner ses rêves pour autant et je trouve cela vraiment chouette.
Dans ce tome, on se retrouve à nouveau à tourner plus ou moins en rond. On sait depuis quasiment le début de l’histoire que les deux adolescents s’aiment sans comprendre que l’autre a également des sentiments et ça devient assez frustrant à la longue. Surtout que le rival amoureux ne permet pas à leur histoire d’amour d’avancer. (Ce qui est dommage car ça aurait pu faire quelque chose de sympa).
Pourtant, l’histoire reste toujours très douce et très juste. Notamment dans les relations amoureuses et amicales du groupe de héros que nous suivons depuis maintenant dix mangas. Le travail sur la psychologie des personnages est toujours extrêmement bien fait. Et on peut facilement se mettre à leur place en repensant à nos propres tourments lorsque nous avions leurs âges.
Enfin, le graphisme est toujours aussi splendide. Les dessins sont magnifiques et les sentiments sont toujours si bien retranscris que malgré les petites longueurs qui commencent à apparaitrent sur certains points, la lecture de « Love, be loved Leave, be left » reste un pure délice.
Conclusion :
Pour conclure, je dirais que ce dixième tome n’est pas forcément le meilleur mais n’en reste pas moins important pour l’évolution psychologique de tous les personnages. On comprend qu’il faut oser et se battre pour ce qu’on désire. On comprend également que tout le monde fait des erreurs et que même si c’est dure parfois, il faut réussir à l’accepter.
L’essoufflement du rythme de lecture depuis quelque temps ne se tarit pas. Cependant, le soin apporté aux relations (entre les quatre amis, mais également entre les adolescents et leurs parents) remonte toujours autant l’intérêt à la lecture. De plus, Yuna et Rio sont mis un peu de côté mais pas du tout oubliés ce qui est très plaisant. On veut savoir la suite, car l’histoire est raconté avec soin par la mangaka. La psychologie des personnages est toujours aussi bien traitée avec délicatesse. Enfin, la beauté des dessins me ravit toujours autant.
Sinon, je te laisse le lien vers le site de Babelio sur la page consacrée à ce deuxième volume pour que tu puisses te faire ton avis plus complet dessus avant de te lancer, si tu le souhaite. Je t’invite cliquer sur le lien : ici.
Mais, et toi, as-tu lu ce manga ? Qu’en as-tu pensé ?
Tu peux, bien évidemment y répondre sur mes réseaux sociaux (liens à la fin de l’article) et je serais ravie de partager avec toi sur ce manga ou cette série (si tu les as lus, bien-sûr) donc n’hésite pas également à me donner ton avis, notamment sur Instagram car je suis plutôt active là-bas !
À présent, je te donne rendez-vous pour ma chronique sur le tome 11 très prochainement, Ami lecteur !
Sur ce, à la prochaine dans un futur article et bien le bonsoir, Ami lecteur !
Caractère de Pêche