Bien le bonjour Ami lecteur ! J’espère que ça va bien ! Aujourd’hui, on continue ensemble mes chroniques sur « Love, be loved Leave, be left« , de Io Sakisaka et éditée en France par Kana. Comme nous sommes au tome 4, je ne vais plus t’expliquer la trame de l’histoire et te laisse plutôt lire mes chroniques déjà postées !
Encore une fois, je lance l’alerte spolier !
D’ailleurs, si ça t’intéresse, je te laisse également le lien vers l’article que j’ai écrit pour le tome précédent : ici.
Tu es prêt(e) ? Allez, c’est parti !
Synopsis du tome 4 :
« En voyant Akari tomber amoureuse, Rio ne parvient plus à se maitriser et l’embrasse ! Akari ne comprend pas le comportement de Rio et lui en veut pour son geste familier… Malheureusement, elle n’ose pas se confier à Yuna qui est aussi amoureuse de Rio ! »
Ma chronique :
Bien, bien, bien… ce tome, sans être le meilleur, ni mon préféré, n’en resta pas moins très chouette (même si, on ne va pas se mentir : des baffes se perdent !!).
Nous reprenons donc l’histoire directement là où elle s’est arrêtée dans le tome précédent, à savoir le fameux baiser de Rio et d’Akari en pleine rue sous la pluie. Alors, ça aurait pu être très romantique, franchement les embrassades sous la pluie ont toujours une certaine beauté et saveur dans les films, sauf que là… bah ça ne l’est pas vraiment. En effet, c’est clairement un geste désespéré de la part de Rio qui ne réfléchit absolument pas aux conséquences d’un tel acte dans leur situation.
On distingue bien qu’il ne parvient plus à contenir ses sentiments qui sont présents depuis des mois (voir même des années ?) pour la jeune fille et qu’il met en berne l’équilibre familial déjà fragile, puisque, ne parvenant pas à accepter les sentiments de plus en plus visibles et forts d’Akari pour Kazu. Sauf que, cette dernière, à mille lieux de penser que cela puisse être un élan d’amour désespéré, le gronde. Et bien, que l’amitié qui la lie à Yuna, soit sincère, elle ne parvient pas à lui en parler de peur que son amie ne se mette à la détester.
Pour parvenir à bien comprendre les sentiments qu’elle a pour Kazu, elle décide d’aller à un groupe dating (et emmène Yuna au passage) et fait une rencontre. Le garçon en question finira par se montrer trop insistant et, n’appréciant pas qu’elle le repousse, se vengera en développant des rumeurs à son encontre. Rumeurs qui arriveront aux oreilles de Kazu (évidement, sinon ce n’est pas drôle !), qui se trouve une fois de plus, un peu en retrait dans ce tome-ci. Nous suivons donc beaucoup Akari dans ce volume. S’intéressant à sa manière de voir les choses, de les gérer et parfois, de les cacher. Kazu a, de son côté, des apparitions certes éparses mais très classes tout de même.
Nous voyions bien la belle évolution de l’amitié entre Yuna et Akari, qui, même si elle connait des hauts et des bas, continue de se souder avec une certaine sincérité et une certaine bienveillance des deux pour l’autre assez touchante. Elles évoluent au contact de l’autre et se soutiennent contre vents et marrées.
Yuna est d’ailleurs impressionnante dans ce tome car elle n’hésite pas à disputer plutôt sévèrement (n’aillons pas peur des mots et allons-y franco !) Rio pour protéger Akari (qui est encore secrète sur certains sujets de sa vie). De plus, elle, qui regardait sans arrêt par terre, relève les yeux et regarde de manière franche ses interlocuteurs (bon, d’accord c’est très souvent Rio, mais tout de même). On comprend ici que l’amitié vraie (et l’amour) implique des choix qui se veulent parfois compliqués mais dans le fond, nécessaires.
Quelle serait une de mes chroniques sur « Love, be loved Leave, be left » sans que je m’attarde un tout petit peu sur la relation entre Yuna et Rio ? Une très mauvaise, je te l’accorde ! Rio n’a aucun secret pour la jeune fille à qui il porte une confiance presque aveugle. Yuna de son côté, hormis le fait qu’elle a encore des sentiments pour lui qu’elle tente de taire du mieux qu’elle peut, n’en a non plus aucun pour le jeune garçon. Ils discutent toujours énormément, Rio se confie à elle puisqu’elle est son oreille attentive. Leur relation se développe énormément mais en prenant son temps. Tout cela avec beaucoup de bienveillance, de sincérité (là aussi), et je l’a trouve particulièrement belle et touchante.
Le groupe d’amis (et quatuor amoureux cela dit en passant), évolue de plus en plus en prenant son temps. Toujours juste, toujours touchant et porté par la plume et les dessins délicats de Io Sakisaka. Pour ma part, j’apprécie toujours autant de suivre cette évolution mignonne et pleine de sens quand on lit entre les lignes. Puis, on ne va pas se mentir, les expressions des visages et des yeux de l’auteure sont tellement magnifiques (Yuna, je t’aime !!) …
Conclusion :
Pour conclure, je dirais que ce quatrième tome est toujours aussi bien réussit. L’histoire s’accélère un peu pour mon plus grand plaisir. Certains moments sont très bien amenés, même la fin est superbe (et pour le coup, je l’espérais vraiment !).
Les dessins sont de nouveau très très beau, les expressions sont tellement bien faites, les personnages sont tous très bien travaillés. Bref, c’est toujours un bonheur pour moi de me replonger dans « Love, be loved Leave, be left » !
Sinon, je te laisse le lien vers le site de Babelio sur la page consacrée à ce deuxième volume pour que tu puisses te faire ton avis plus complet dessus avant de te lancer, si tu le souhaite. Je t’invite cliquer sur le lien : ici.
Mais, et toi, as-tu lu ce manga ? Qu’en as-tu pensé ?
Tu peux, bien évidemment y répondre sur mes réseaux sociaux (liens à la fin de l’article) et je serais ravie de partager avec toi sur ce manga ou cette série (si tu les as lus, bien-sûr) donc n’hésite pas également à me donner ton avis, notamment sur Instagram car je suis plutôt active là-bas !
À présent, je te donne rende-vous pour ma chronique sur le tome 5 très prochainement, Ami lecteur !
À la prochaine dans un futur article et bien le bonsoir, Ami lecteur !
Caractère de Pêche